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Le samedi 30 novembre 2024,
10hoo - Assemblée générale
11h45 - Apéritif et repas
- Animations
à la salle paroissiale de st-pierre, av. de gambach 4
a fribourg
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consultable sur le site :
www.eper.ch/les-statuts-juridiques-dans-le-domaine-de-lasile
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Article "la LIBERTE du 15 septembre 2020"
La cité de Zaehringen est la neuvième ville de Suisse à réclamer une conférence nationale pour accueillir des réfugiés de Lesbos. Comme Zurich, Lausanne, Genève ou Delémont, elle se dit prête à faire sa part.
«Nous sommes sensibles à la détresse des réfugiés sur l’île de Lesbos. Nous ne pouvons évidemment pas régler ce problème depuis Fribourg mais nous nous associons à l’appel des villes suisses pour accueillir davantage de migrants», a lancé le syndic, Thierry Steiert (ps), lors d’une manifestation sur la place Georges-Python, lundi en fin de journée.
«Le conseil communal de Fribourg demande la tenue d’une conférence nationale sur l’accueil. Nous sommes prêts à faire notre part.»
Le conseil communal de la capitale a été interpelé en fin de semaine dernière par «Osons l’accueil» et d’autres associations. Il a pris cette décision dans sa séance de lundi après-midi.
Après l’appel de Zurich jeudi dernier, sept villes, dont Lausanne et Genève, se sont jointes au mouvement vendredi. Elles réagissaient à la situation dramatique de 12’500 migrants dans le camp de Moria, sur l’île de Lesbos (Grèce), après l’incencie d’un camp. La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a évoqué la possibilité d’accueillir vingt mineurs en provenance de Lesbos, ce que les villes signataires jugent insuffisant.
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Il y a urgence humanitaire !
Chers ami(e)s
Chères familles de « Osons l’accueil ! »
Les nouvelles qui nous parviennent de Lesbos font froid dans nos cœurs : 12700 migrants abandonnés en plein air, sans abri, sans nourriture, sans médicaments. Parmi eux : 4000 enfants. Et ça se passe en Europe, autrement dit à nos portes. Les nôtres resteront-elles fermées face à un tel drame ?
« Osons l’accueil » est une association fondée il y a 5 ans à Fribourg pour promouvoir l’accueil responsable de requérants d’asile admis provisoirement chez nous. Jusqu’à ce jour, en lien avec nos autorités et d’autres instances de solidarité, 94 familles ont accueilli plus de 145 requérants pour un temps déterminé d’un commun accord.
Devant le drame de Lesbos, nous ne pouvons pas rester indifférents ou inactifs. C’est pourquoi « Osons l’accueil » lance un double appel urgent :
A nos autorités cantonales et fédérales : qu’elles se joignent à celles d’autres pays européens pour accueillir immédiatement des réfugiés provenant de Lesbos, entre autres des mineurs non accompagnés particulièrement vulnérables ;
A notre population fribourgeoise, pour que des familles et des personnes se présentent en vue d’un accueil temporaire qui vienne au secours de ces requérants d’asile en grande détresse.
L’association « Osons l’accueil » se tient prête à collaborer efficacement pour faciliter ces accueils en urgence, qui soient dignes de la vocation humanitaire de notre peuple.
Vous avez compris : nous recherchons de nouvelles familles d’accueil , parlez-en autour de vous, de votre expérience et si le cœur vous en dit d’accueilir à nouveau, vous nous seriez d’un grand secours pas pour nous, mais pour eux.
Nous aimerions créer un pool de familles en attente d’accueil au cas où la Confédération se dit prête à accueillir un nombre plus importants de migrants.
Merci pour votre soutien !
Pascal Corminboeuf, anc. Conseiller d’Etat,
Claude Ducarroz, Prévôt émérite de la Cathédrale de Fribourg
Bernard Huwiler, médecin retraité
Erwin Murer, anc. Professeur de Droit, Uni de Fribourg
osez une expérience unique
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la plupart des associations bénévoles qui s'occupent de l'accompagnement de l'accueil et de l'intégration des réfugiés dans le canton de fribourg, présentent ensemble devant la presse leurs actions, leurs projets et défis futurs mais aussi de leurs inquiétudes face à l'avenir de ces personnes concernées.
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Ensemble plus forts
« Toute personne migrante doit pouvoir vivre au milieu de nous
dans le respect de sa pleine dignité humaine »
DECLARATION COMMUNE
(adressée officiellement au conseil d'état)
Nous ne pouvons pas accepter une gestion minimaliste et légaliste du droit d’asile par nos autorités responsables.
A titre d’exemples :
- l’impossibilité d’accéder à un travail pour les personnes migrantes en voie d’expulsion
- la précarisation des requérant-e-s d’asile débouté-e-s, notamment à cause d’une aide d’urgence insuffisante aggravée par l’absence de perspective de régularisation.
Nous demandons :
- une amélioration rapide des conditions de séjour et d’encadrement, notamment dans les foyers (cf. cours de langues, recours aux interprètes communautaires, etc..)
- la régularisation des personnes déboutées ou requérantes présentes depuis longtemps parmi nous, ainsi que l’amélioration de l’aide d’urgence (procédure et montant alloué)
- une reconnaissance de la présence de toutes ces personnes par le droit au travail, car elles sont des forces dont notre économie a besoin
- l’abonnement des TPF et l’accès aux activités et programmes d’occupation, aussi pour les personnes en voie d’expulsion, aussi longtemps qu’elles vivent parmi nous
- l’inscription à son budget par l’Etat de Fribourg d’un soutien financier régulier pour les associations bénévoles qui veillent au bien-être et à l’intégration des réfugié-e-s et requérant-e-s d’asile.
Au vu de l’urgence de certaines situations, nous demandons aussi :
- que l’Etat de Fribourg réponde par des initiatives de solidarité et d’accueil aux drames en cours dans les îles grecques et en Libye
- que l’Etat de Fribourg favorise une application souple et systématique des possibilités de régularisation pour cas de rigueur, et qu’il crée une commission cantonale pour le traitement de ces cas de rigueur, à l’instar de ce qui existe dans d’autres cantons
- que l’Etat de Fribourg décide formellement que tous-tes les migrant-e-s – y compris celles et ceux qui sont en instance de renvoi - puissent terminer en paix leur formation ou leur apprentissage.
le 12.03.2020
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Gemeinsam sind wir stärker!
"Alle Migrantinnen und Migranten sollen in Würde in unserer Mitte leben dürfen"
GEMEINSAME ERKLÄRUNG
Wir können nicht hinnehmen, dass die verantwortlichen Behörden das Asylrecht minimalistisch und legalistisch handhaben.
Beispiele:
- Ausschluss von der Arbeit nach Ablehnung des Asylgesuchs.
- Marginalisierung nach Ablehnung des Asylgesuchs, insbesondere infolge der Kürzung der Sozialhilfe.
Wir fordern
- eine rasche Verbesserung der Aufenthaltsbedingungen und der Betreuung, besonders auch in den Unterkünften wie speziell im Centre de la Poya in Freiburg (Teilnahme an Sprachkursen, Verfügbarkeit von Dolmetschern, etc.)
- die Regularisierung des Personenstatus jener Personen, deren Asylgesuch abgelehnt worden ist oder die seit Jahren auf den Entscheid warten, sowie die Verbesserung der Nothilfe in Bezug auf Verfahren und Höhe
- Recht auf Arbeit ebenfalls der Abgewiesenen, zumal die Wirtschaft auch sie nötig hat
- ein TPF-Abo und Zugang zu Beschäftigungsprogrammen auch für Personen, deren Asylgesuch abgelehnt worden ist, und zwar so lange wie sie unter uns leben
- Die Budgetierung einer regelmässigen finanziellen Unterstützung für die Freiwilligenorganisationen, die sich für die Integration der Flüchtlinge und Asylsuchenden und deren Wohlergehen
Im Blick auf verschiedene Notlagen fordern wir auch
- dass der Kanton Freiburg im Blick auf das Drama auf den griechischen Inseln und in Libyen die Initiative für die zusätzliche Aufnahme von Asylsuchenden ergreift
- dass der Kanton Freiburg die Härtefallklausel flexibel und systematisch handhabt und nach dem Vorbild anderer Kantone eine kantonale Kommission einsetzt, die diese Fälle behandelt
- dass der Kanton Freiburg formell beschliesst, alle Migrantinnen und Migranten - jene eingeschlossen, deren Asylgesuch abgelehnt worden ist – ihre Lehre oder eine andere Ausbildung in Ruhe beenden können.
le 12.03.2020
Ensemble plus forts
« Toute personne migrante doit pouvoir vivre au milieu de nous
dans le respect de sa pleine dignité humaine »
DECLARATION COMMUNE
(adressée officiellement au conseil d'état)
Nous ne pouvons pas accepter une gestion minimaliste et légaliste du droit d’asile par nos autorités responsables.
A titre d’exemples :
- l’impossibilité d’accéder à un travail pour les personnes migrantes en voie d’expulsion
- la précarisation des requérant-e-s d’asile débouté-e-s, notamment à cause d’une aide d’urgence insuffisante aggravée par l’absence de perspective de régularisation.
Nous demandons :
- une amélioration rapide des conditions de séjour et d’encadrement, notamment dans les foyers (cf. cours de langues, recours aux interprètes communautaires, etc..)
- la régularisation des personnes déboutées ou requérantes présentes depuis longtemps parmi nous, ainsi que l’amélioration de l’aide d’urgence (procédure et montant alloué)
- une reconnaissance de la présence de toutes ces personnes par le droit au travail, car elles sont des forces dont notre économie a besoin
- l’abonnement des TPF et l’accès aux activités et programmes d’occupation, aussi pour les personnes en voie d’expulsion, aussi longtemps qu’elles vivent parmi nous
- l’inscription à son budget par l’Etat de Fribourg d’un soutien financier régulier pour les associations bénévoles qui veillent au bien-être et à l’intégration des réfugié-e-s et requérant-e-s d’asile.
Au vu de l’urgence de certaines situations, nous demandons aussi :
- que l’Etat de Fribourg réponde par des initiatives de solidarité et d’accueil aux drames en cours dans les îles grecques et en Libye
- que l’Etat de Fribourg favorise une application souple et systématique des possibilités de régularisation pour cas de rigueur, et qu’il crée une commission cantonale pour le traitement de ces cas de rigueur, à l’instar de ce qui existe dans d’autres cantons
- que l’Etat de Fribourg décide formellement que tous-tes les migrant-e-s – y compris celles et ceux qui sont en instance de renvoi - puissent terminer en paix leur formation ou leur apprentissage.
le 12.03.2020
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Gemeinsam sind wir stärker!
"Alle Migrantinnen und Migranten sollen in Würde in unserer Mitte leben dürfen"
GEMEINSAME ERKLÄRUNG
Wir können nicht hinnehmen, dass die verantwortlichen Behörden das Asylrecht minimalistisch und legalistisch handhaben.
Beispiele:
- Ausschluss von der Arbeit nach Ablehnung des Asylgesuchs.
- Marginalisierung nach Ablehnung des Asylgesuchs, insbesondere infolge der Kürzung der Sozialhilfe.
Wir fordern
- eine rasche Verbesserung der Aufenthaltsbedingungen und der Betreuung, besonders auch in den Unterkünften wie speziell im Centre de la Poya in Freiburg (Teilnahme an Sprachkursen, Verfügbarkeit von Dolmetschern, etc.)
- die Regularisierung des Personenstatus jener Personen, deren Asylgesuch abgelehnt worden ist oder die seit Jahren auf den Entscheid warten, sowie die Verbesserung der Nothilfe in Bezug auf Verfahren und Höhe
- Recht auf Arbeit ebenfalls der Abgewiesenen, zumal die Wirtschaft auch sie nötig hat
- ein TPF-Abo und Zugang zu Beschäftigungsprogrammen auch für Personen, deren Asylgesuch abgelehnt worden ist, und zwar so lange wie sie unter uns leben
- Die Budgetierung einer regelmässigen finanziellen Unterstützung für die Freiwilligenorganisationen, die sich für die Integration der Flüchtlinge und Asylsuchenden und deren Wohlergehen
Im Blick auf verschiedene Notlagen fordern wir auch
- dass der Kanton Freiburg im Blick auf das Drama auf den griechischen Inseln und in Libyen die Initiative für die zusätzliche Aufnahme von Asylsuchenden ergreift
- dass der Kanton Freiburg die Härtefallklausel flexibel und systematisch handhabt und nach dem Vorbild anderer Kantone eine kantonale Kommission einsetzt, die diese Fälle behandelt
- dass der Kanton Freiburg formell beschliesst, alle Migrantinnen und Migranten - jene eingeschlossen, deren Asylgesuch abgelehnt worden ist – ihre Lehre oder eine andere Ausbildung in Ruhe beenden können.
le 12.03.2020
20 septembre 2019 :
Fribourg, une nouvelle plateforme pour favoriser l'employabilité dans le domaine de l'asile. lieu d'échange entre les réfugié(es) autorisé(es) à travailler et les entreprises du canton de fribourg, cette plateforme est consultable sur le lien ci-dessous
01 septembre 2019 :
"Osons l'accueil ! "
debut septembre 2019, "Osons l'accueil!" a contacté les familles accueillantes, actuelles et anciennes pour sonder les éventuelles personnes intéressées (requérants d'asile/réfugiés) a suivre un cours de français adapté (2019/2020). Les informations suivront une fois l'organisation finalisée.
les personnes intéressées peuvent toujours nous contacter :